La question du pouvoir d’achat n’est pas uniquement une problématique sociétale ou économique. C’est aussi un sujet d’entreprise, et plus encore, un enjeu stratégique. Une récente étude révèle une baisse de 20,7 % du pouvoir d’achat alimentaire des salariés au cours des cinq dernières années*. Cette évolution, loin d’être anecdotique, a des conséquences concrètes sur le quotidien des collaborateurs, et inévitablement, sur le fonctionnement et la performance des organisations.
Un impact direct sur l’engagement et la productivité
L’une des premières manifestations de cette baisse de pouvoir d’achat est la réduction de la pause déjeuner : 58 % des salariés déclarent y consacrer moins de temps qu’auparavant*. Ce changement peut paraître mineur à première vue, mais il reflète en réalité un mal-être croissant. Face à une pression financière plus forte, voire une organisation du temps plus serrée, les salariés sacrifient des moments essentiels à leur bien-être.
Or, la pause déjeuner joue un rôle clé dans la journée de travail : elle permet de se reposer, de se recentrer, de reprendre de l’énergie. Lorsqu’elle disparaît ou se réduit, la fatigue s’installe plus rapidement, la concentration diminue, et la productivité s’en ressent.
La cohésion d’équipe fragilisée
Autre indicateur préoccupant : la fréquentation des restaurants ou extérieurs a baissé de 45 %, principalement pour des raisons économiques, selon 63 % des répondants*. Cette baisse affecte plus qu’une simple habitude alimentaire. Elle entraîne la disparition de ces moments informels qui permettent aux équipes de se retrouver, d’échanger librement, de créer du lien au-delà des réunions formelles.
Ces instants de convivialité sont pourtant essentiels : ils nourrissent la culture d’entreprise, renforcent la cohésion entre collègues, et contribuent à un climat de travail sain et stimulant. Leur disparition progressive peut entraîner une forme d’isolement, voire une perte d’identité collective au sein de l’organisation.
Une responsabilité à prendre au sérieux
Face à ces constats, une question s’impose : comment les entreprises peuvent-elles agir ?
Il ne s’agit pas simplement d’un enjeu social ou RH, mais d’un enjeu de performance globale. Une entreprise qui laisse ses collaborateurs s’enliser dans des difficultés économiques sans réponse perdra inévitablement en engagement, en fidélité, et en efficacité. À l’inverse, celles qui prennent en compte cette dimension humaine et économique renforcent leur attractivité et leur résilience.
Smart Wallet Pro : un levier d’action concret et accessible
Dans cette optique, Smart Wallet Pro propose une solution pragmatique et à fort impact.
Il s’agit d’un dispositif conçu pour améliorer le pouvoir d’achat des salariés tout en valorisant la solidarité interne et l’image de l’entreprise. Smart Wallet Pro propose ainsi un financement de la protection sans effort, ancré dans le quotidien, simple à mettre en place, et générateur de valeur sociale et économique.
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Transformer une contrainte en opportunité
La baisse du pouvoir d’achat des salariés est un signal d’alerte. Mais c’est aussi une occasion de repenser les pratiques managériales et sociales. En s’attaquant à cette problématique, les entreprises peuvent non seulement améliorer le quotidien de leurs collaborateurs, mais aussi renforcer leur propre performance.
Chez Smart Good Things Holding à travers sa filiale Smart Wallet Pro, nous sommes convaincus qu’une approche innovante et humaine est possible.
*Sources : Terra Nova/APEC (Février 2024) – Baromètre social Institut Montaigne – Études CESE 2024